RpG HaRrY PoTtEr Rpg Poudlard |
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| Le pouvoir de la lune | |
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Auteur | Message |
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Eiden Fawl Serdaigle
Nombre de messages : 761 Age : 33 Baguette : Quelque part dans Poudlard Date d'inscription : 02/11/2005
| Sujet: Le pouvoir de la lune Sam 10 Déc - 7:38 | |
| Salut à tous!! Voià j'ai écrit une fanfic que je n'ai pas encore finie, elle me tiens beaucoup à coeur, et elle est assez longue, mais je vais vous la mettre petit morceau par petit morceau.. J'ai mis 'le pouvoir de la lune', mais c'est peut être pas le vrai titre, je ne l'ai pas encore vraiment trouvé puisque je ne l'ai pas fini cette fanfic.. Bonne lecture!! 1er chapitre: Le rayon de lune J'étais dans ma chambre, en train de jouer avec ma petite sœur. De là on entendait mon père et ma belle-mère se disputer un peu, beaucoup, passionnément...Il était 6h30 du soir, et le soleil était déjà en train de se coucher. Je savais déjà que ce soir, la lune serait pleine, éclatante dans la nuit. Nous étions en fin octobre, et cet automne la nuit avait décidé d'apparaître plus tôt que d'habitude. La lumière de ma chambre éclairait les jouets avec lesquels ma sœur et moi étions en train de jouer, mais ma sœur ne semblait pas entendre ou faire attention à la chose qui me perturbait... La dispute de mon père et sa tendre chérie s'amplifiait de plus en plus... J'arrêtais un instant de jouer pour tendre l'oreille à cette dispute qui m'inquiétait. Pour une fois, la dispute avait l'air grave. -"Pourquoi tu joues plus? me demanda ma petite sœur. - je... attends ici, je reviens", lui répondis-je, pas très assurée. À ce moment-là je ne me doutais pas encore que je n'allais presque plus revoir ma sœur pendant dix mois. Je me levais rapidement pour aller voir ce qui se passait en bas. Je dévalai l'escalier, mais je m'arrêtai brusquement car mon père et ma belle-mère se trouvaient dans le salon, juste là où donnait l'escalier. - "C'EST ÇA, DIS-MOI DE LA FERMER AUSSI!! criait la femme de mon père. - MAIS C'EST BON, CALME-TOI, JE DIS JUSTE QUE CE N'EST PAS UNE RAISON POUR T'ÉNERVER ENCORE UNE FOIS..." Mais à ma grande stupéfaction, ma belle-mère se mit à gifler violemment mon père. S'en était beaucoup trop. Je ne pouvais pas rester là bêtement à regarder mon père se faire gifler. Jusqu'à présent, je ne m'étais jamais trop interposée entre mon père et elle; même quand c'était elle qui me grondait, je ne réagissais pas, je ne sais quelle raison m'en empêchait, mais là, je devais agir. Je ne pris pas la peine de finir la descente des escaliers et je sautai par dessus la rambarde qui était à trois mètres trente du sol. Puis après une réception un peu brusque sur le sol, je me plaçai entre mon père et ma belle-mère, me faire taper m'importait peu. Et face à ma belle-mère et de dos à mon père, je me mis à hurler: -"TU N'AS PAS LE DROIT DE LE TOUCHER!!! TU N'AS PAS LE DROIT DE LUI FAIRE MAL!! IL NE T'APPARTIENT PAS!!! CE N'EST PAS TON CHIEN!!!!!" Ma belle-mère faisait une tête qui donnerait envie de partir en courant à n'importe qui, mais dans la suite de l'action elle essaya d'abord de me pousser, genre "dégage de là que je puisse continuer mon coup de gueule", mais je résistais de toutes mes forces, et elle se mit à me frapper à mon tour. Je n'opposai cette fois-ci aucune résistance, pour que mon visage plein de blessures puisse prouver aux autres qu'elle était malade, blessée... Mais un coup trop fort m'empêcha de résister plus longtemps à la tentation de me défendre, et je lui enfonçai un fort coup de pied dans le ventre. Elle se tordit en deux sous la douleur et, sans vraiment savoir pourquoi, je me plassai sous un rayon de pleine lune qui traversait la fenêtre, et il se passa quelque chose d'incroyable. Je sentis au plus profond de moi-même une transformation inexplicable, je ressentis une sensation bizarre... comme si j'étais plus puissante, plus sûre de moi... je me sentis légère, heureuse et forte... Puis je me tournai vers ma belle-mère et imaginai très intensément dans ma tête qu'elle était énorme, avec de la peau et du gras qui pendait un peu partout, et que ses lèvres habituellement pincées étaient cette fois pincées à cause d'une pince à linge qui y était accrochée... À mon grand étonnement, c'est ce qui se produisit. Sa peau s'étendit et s'enfla, comme si plusieurs ballons bien arrondis poussaient la peau de l'intérieur, puis sa peau forma d'énormes bourrelets et pendit vers le sol telle une masse grasse et gluante, tandis qu' une pince à linge surgit de nulle part et alla s'accrocher à ses lèvres... Ma belle-mère n'était à présent plus en furie, mais elle paraissait en revanche horrifiée et effrayée, ce qui est une réaction je pense normale quand on voit que notre corps se transforme en masse grasse et retombe visquesement vers le sol... J'étais moi-même très stupéfaite, mais j'avais également envie d'éclater de rire. Puis, encore une fois, une force venue de nulle part me submergea et m'entraîna dehors. Je me mis à pousser un puissant cri d'aigle, mélangé à une espèce de sifflement, comme un appel à la rescousse... Quelques instants plus tard, une silhouette que je reconnus immédiatement se dirigeait vers moi, dans le ciel. C'était un hippogriffe. Il atterri dans le jardin, galopant vers moi. J'aperçu les couleurs de ses plumes: rouges, marrons et dorées. Comme si j'avais compris pourquoi cette force m'avait menée à appeler un hippogriffe, je m'inclinai devant lui comme je savais qu'il fallait le faire, et je fus soulagée qu'il s'incline à son tour. Je constatais qu'il avait une chaîne en fer autour de son cou, et sans faire attention aux hurlements de ma belle-mère, je m'approchai doucement de lui, puis après l'avoir caressé, je montai sur son dos. C'était incroyable, moi qui m'était toujours demandé si ça existait... Je pris contrôle de l'hippogriffe avec une manière qui me rappelait Sirius Black à la fin du troisième film d'Harry Potter, puis je regardais mon père qui observait cette scène bouche bée, et je lui dis: -" Papa... je te conseille vraiment de ne plus te laisser faire par elle." Il me regarda comme si il n'en croyait pas ses yeux. J'aperçu ma petite sœur qui me regardait par la fenêtre et je lui fit un petit signe de la main, qui voulait certainement dire "au revoir". Elle me le rendis sans trop comprendre pourquoi je lui avais fais, puis je donnai de l'impulsion à l'hippogriffe avec mes jambes, et celui-ci s'élança au galop dans le jardin avant d'ouvrir ses longues ailes et de s'envoler. | |
| | | Hermione Invité
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Dim 11 Déc - 2:03 | |
| BRAVO!!! Ce début est vraiment bien! J'ai hâte de lire la suite! |
| | | Eiden Fawl Serdaigle
Nombre de messages : 761 Age : 33 Baguette : Quelque part dans Poudlard Date d'inscription : 02/11/2005
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Dim 11 Déc - 3:58 | |
| Mircii!! (J'ai lu le début de la tienne aussi c'est vraiment bien!! Je vais lire la suite ) Je mets la suite: 2 eme chapitre: Pendant le volAvant que la maison ne s'éloigne trop, je réalisai que ce que je venais de faire subir à ma belle-mère n'était pas tellement gentil; alors je me concentrai très fort pour faire disparaître les effets du sort que j'avais lancé sur elle, en espérant que le contact visuel n'était pas indispensable. Puis j'essayai de réaliser ce qui était en train de se passer. Je venais de rendre ma belle-mère énorme et un réel hippogriffe était venu me chercher. La langue française n'est pas suffisamment riche pour que j'exprime à quel point j'étais émerveillée. Je restai immobile sur l'hippogriffe, un de mes doigts caressant ses plumes soyeuses. Je ne savais plus quoi penser, c'était tellement extraordinaire… Au bout d'un moment, je me rendis compte que l'hippogriffe attendait des consignes à propos de l'endroit où aller. Je pensais immédiatement à Poudlard, bien sûr. Si un hippogriffe existe, Poudlard et la magie aussi. Je savais qu'il existait une école française de sorcellerie, mais je préférais Poudlard; voir ses lieux, ses professeurs, etc., serait un rêve... Mais il y avait un seul problème: je ne parlais pas anglais. Un petit peu, mais pas suffisamment pour vivre normalement avec des anglais. Mais je maintenais mon idée: -"Direction Poudlard, s'il-te-plaît." Je répétai la phrase en anglais, en cas où l'hippogriffe ne comprendrait pas le français: -"Let's go to Hogwarts, please." Je savais que c'était une façon comme une autre de parler à un hippogriffe, peut-être qu'ils comprennent mieux par la pensée, mais j'avais choisi la parole humaine. Pendant ce temps, je réfléchissais au problème de "comment parler anglais". Il devait bien y avoir un moyen avec de la magie pour pouvoir parler anglais. Pour ça, il fallait une formule. Mais il se trouvait que je n'avais pas de baguette magique. Cependant, j'avais bien réussi à rendre ma belle-mère énorme sans formule. Uniquement par la pensée. À quoi bon ne pas essayer? Je me mis à penser très intensément à une encyclopédie de formules et d'incantations, rassemblant tous mes efforts pour réussir. Le résultat fut négatif: il ne s'était rien passé. Je priai le ciel pour que la seconde fois soit la bonne, puis je recommençai avec une pensée plus-qu'intense. Cette fois-ci, elle était vraiment plus forte que la précédente, et je fus très joyeuse de me retrouver avec une encyclopédie de sorcellerie devant moi. Je le pris bien entendu (je n'allais quand même pas le lâcher et le laisser tomber après tant d'efforts) et je me mis à le feuilleter rapidement. "Comment retrouver sa forme normale quand on apprend à être animagus" "Comment récolter des carapaces de chizpurfles"... - "Allez, allez..."dis-je pour moi-même. "Comment transformer de gros objets en animaux" "Comment parler une langue étrangère comme si c'était votre langue natale" - "Ah, ça y est." Je lus ce qui était écris, jusqu'à enfin trouver la formule à prononcer. Mais la formule était à énoncer en possession d'une baguette, ce qui n'étais pas mon cas. Il fallait une incantation. Heureusement pour moi, il y avait la formule, et l'incantation. Je la lus dans ma tête: "Qin na force capuncie ma dôte ca povir da pronouns das lunka* cas me lunka natalis." * À la place de ci le nom de la langue que vous voulez parler. Même si je trouvais la formule un peu bizarre, j'obéis au livre et je récitai l'incantation à voix haute, en me concentrant. Je ressentis quelque chose d'inexplicable au niveau du cerveau, de la gorge et de la bouche. Le sortilège avait dû marcher. Pour vérifier cela, je cherchai une phrase dans ma tête. Je trouvai celle-là: "La cachette de mon tendon est située plus bas que celle de ma marraine, les avions détournent les terroristes et les font cracher sur les deux tours et mon ongle me fait mal." Cette phrase n'avait aucun sens, bien sûr, mais c'était une phrase plutôt compliquée à dire en anglais pour moi. Je la testai aussitôt, en voulant la dire en anglais bien sûr. "My tendon's hiding place is situated more below than my godmother's, planes hijack terrorists and crash them on the Twin Towers and my nail hurts me." Ça avait l'air parfait. Le sort paraissait avoir bien marché. Durant tout cela, le temps avait bien passé et à en voir le paysage nous semblions presque arrivés. J'étais très très excitée à l'idée de voir Poudlard pour de vrai, les lieux, les professeurs, les autres élèves, les animaux fantastiques comme les licornes... et pratiquer la magie bien sûr. Ce serait plus qu'un immense rêve qui se réaliserait. Et si tout ça n'existait pas... si l'hippogriffe me déposait au milieu de nulle part, ou alors devant un château en ruines avec à l'entrée une pancarte "Entrée interdite, risques d'effondrements"... Je serai dans un de ces états de déception et d'incompréhension... Mais quelques instants après cette pensée, un spectacle extraordinaire s'offrit à moi. J'étais émerveillée, presque en extase. Le château de Poudlard était là, dressé devant moi... des fenêtres illuminées étaient parsemées sur ce magnifique château entouré par la nuit noire, une de ses faces éclairées par la pleine lune... J’appuyai ma tête sur mes bras croisés, posés sur l'hippogriffe, les yeux fixés sur Poudlard...c'était magnifique, inimaginable... L'hippogriffe et moi se rapprochions de plus en plus. Nous survolâmes le long escalier qui menait à Poudlard, franchîmes la petite murette qui délimitait le parc de Poudlard, et l'hippogriffe se rapprocha de l'herbe verte et s'y posa en douceur. Je descendis de lui en le caressant, des fourmis chatouillant mes jambes dont le poids de mon corps s'était si longtemps reposé. Et à propos de temps, quelle heure était-il? Je jetais un coup d'œil à ma montre. Elle affichait huit heures trente-quatre du soir. | |
| | | Hermione Invité
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Dim 11 Déc - 4:49 | |
| Excellent!!!!J'adore!!!!!!!!Ben..la swiiit??? |
| | | Eiden Fawl Serdaigle
Nombre de messages : 761 Age : 33 Baguette : Quelque part dans Poudlard Date d'inscription : 02/11/2005
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Dim 11 Déc - 7:44 | |
| Mirci Hermyy!! lol Okay okay lol je met la suite!
3eme chapitre: l'explication de Dumbledore
J'étais seule, avec l'hippogriffe, au milieu du parc. Je commençais à m'angoisser un peu à l'idée de devoir parler à quelqu'un pour lui expliquer ce qui s'était passé... Puis j'aperçu la petite cabane éclairée de Hagrid. Cela me remonta le moral. Je dirigeai mes pas vers la cabane, tenant l'hippogriffe par la chaîne et me frottant mes bras mal couverts avec ma main gauche à cause du froid qui tombait de plus en plus avec la nuit. Quand je me retrouvai devant la porte de la cabane, je laissai passer un peu de temps en réfléchissant à ce que je pourrai dire à Hagrid. Au bout d'un moment, je me décidai enfin et je frappai trois bons coups à la porte. Trois secondes après, la grand porte s'ouvrit et le demi-géant apparu sur le seuil. Il vit tout de suite qu'il ne me connaissait pas, car je n'avais pas l'air d'appartenir à Poudlard. -"Qui êtes vous, jeune fille?" me demanda-t-il, en anglais bien sûr, de sa grosse voix hirsute. Il m'invita gentiment à rentrer et, en buvant un chocolat chaud, je lui racontai tout ce qui s'était passé. -"Je vais t'accompagner voir le professeur Dumbledore, c'est le directeur, dit-il après mon récit. Il saura quoi faire. Mais à mon avis, tu vas rester ici pour étudier la magie, après ce que tu as fait à ta pauvre belle-mère. "Elle l'a mérité, ma pauvre belle-mère", pensai-je. -"Et tu dis que tu es française? Tu parles très bien l'anglais. Tu as bien fait de choisir Poudlard, tu te plairas ici, tu verras. -Merci, dis-je. Je ne parlai pas trop bien anglais avant. Mais j'ai utilisé une formule pour parler anglais comme si c'était ma langue natale. -Sans baguette? Alors tu as sûrement dus utiliser la pensée, non? me demanda-t-il. -Oui, mais ça n'a pas été très facile. -Tu y es quand même arrivée. C'est un bon début dans la magie. -Je suis heureuse de le savoir...", dis-je maladroitement. Nous traversâmes le parc en direction du château. L'herbe était déjà humide et il faisait froid. Je claquais des dents... Puis nous arrivâmes enfin au château. Je profitai pleinement de la première fois où je franchissais ces portes... Je fus rassurée qu'il n'y ai pratiquement personne dans le hall, mis à part deux adultes qui discutaient devant la porte de la grande salle. Mais nous étions sur le point de commencer la montée des escaliers quand une voix froide nous interpela. -"Qui est-ce, Hagrid?" Nous nous retournâmes et virent un adulte aux cheveux noirs et gras qui traversait le hall vers nous. Un troisième ou quatrième rêve qui se réalisait. Le professeur Rogue devant nous. -"C'est une... jeune fille qui..." répondit en hésitant Hagrid. "À qui il est arrivé des choses bizarres", pensai-je. La phrase faillit sortir toute seule de ma gorge. Mais Rogue me regardait et semblait lire dans mes pensées. -"Je vois. Soyez plus explicite dans vos explications la prochaine fois, Hagrid", dit-il. Puis il nous doubla et monta les escaliers. Quand il eut disparu de notre champ de vision, Hagrid se contenta de dire: -" ça, c'est le professeur Rogue. Il enseigne les potions et est le directeur de la maison Serpentard. Il n'est pas toujours très gentil, fais attention avec lui." Bien sûr, ça, je le savais déjà. Une question trottait dans ma tête depuis mon arrivée. Tout était exactement comme dans les films "Harry Potter", et pourtant, ce qui se passait n'était pas un film avec des acteurs et des décors, c'était réel... Hagrid m'entraînait d'escalier en escalier, de couloir en couloir, tandis que j'observais avec curiosité les tableaux dont les personnages bougeaient tous seuls et se rendaient visite les uns aux autres. Certains escaliers bougeaient soudainement, ce qui fit aborder à Hagrid le sujet des escaliers farceurs. Enfin, nous nous arrêtâmes devant un grand tableau représentant des fruits et Hagrid prononça quelques mots qui devaient êtres un mot de passe, car le tableau s'ouvrit de lui-même en découvrant un grand espace éclairé dans le mur, comme si il avait entendu le mot de passe. Nous pénétrâmes dans la petite pièce sans plafond, sur une espèce de socle doré avec une statue de griffon derrière, et le socle pivota vers le haut en spirale, autour d'une colonne argenté. Une fois le mouvement arrêté, nous nous avançâmes dans une grande pièce qui était sans doute le bureau de Dumbledore, remplit d'objets diverses qui attiraient ma curiosité. Mais nous n'étions pas tout-à-fait là pour ça, et Dumbledore, un vieil homme à la longue barbe argentée et aux lunettes en demi-lune, se leva derrière son bureau en nous regardant. -Expliquez-moi, dit-il comme s'il savait déjà ce qui s'était passé. J'enchaînais la conversation par mon histoire, Dumbledore m'écoutant très attentivement. Au fur et à mesure que je progressais dans mon récit, Dumbledore hochait la tête d'un air compréhensif, comme si il était en train de résoudre petit-à-petit et de plus en plus quelque chose qui lui posait problème. Quand j'eu terminé, il dit tout simplement: -Eh bien, je crois que j'ai résolu mon problème d'élève absent. Il manquait en effet une élève depuis le début de l'année, que le professeur McGonagall et moi-même n'arrivions étrangement pas à repérer. Je fus troublée par sa réponse, pensant plutôt qu'il allait m'expliquer comment ma transformation a eu lieu et pourquoi je n'avais jamais manifesté de pouvoirs magiques avant ce moment. Mais pleins d'autres questions bouillonnaient dans ma tête. -Excusez-moi monsieur, mais est-ce que vous pourriez m'expliquer cette...transformation? dis-je un peu gênée. Tout s'est passé en même temps, alors qu'avant il n'y avait rien... -Oui, c'est une phénomène très rare qui se produit chez certains sorciers. Les pouvoirs se manifestent brusquement d'un coup, très souvent en période de pleine lune, à l'âge de l'adolescence. Et apparemment, tu es un de ces cas particuliers... me dit-il en m'adressant un sourire. Tu as su utiliser tes pouvoirs plutôt correctement, ce qui est une bonne chose. À présent, tu vas pouvoir étudier dans cette école comme tous les élèves normaux, si tu choisi de rester ici bien entendu... Je lui adressai un signe de tête approbatif. -Il va falloir que je prévienne madame Maxime... dit-il comme pour lui-même. -Et... J'attendais qu'il me porte son attention pour continuer. -Et ce cri d'aigle, et...l'hippogriffe? Comment j'ai pu... -Le cri que tu as poussé a pour fonction d'attirer l'hippogriffe le plus proche. Il vient alors en aide. C'est chez eux un instinct, même chez les hippogriffes les plus difficiles. Ils deviennent alors dociles et se laissent alors maîtriser. -Et ce cri, comment j'ai pu le pousser? -Cela fait parti de ta poussée subite de pouvoirs, et tu dois avoir cela en toi. Et jamais personne n'a cela par hasard... tu dois avoir un autre élément qui doit coïncider avec ton cri. Mais tu le découvriras par toi-même... Je n'avais pas tellement bien compris ce que le professeur Dumbledore venait de dire, mais je fis semblant en hochant la tête. Je repensais à présent à mes parents: ils s'inquiétaient sûrement, mon père aurait prévenu ma mère... -Et pour mes parents... -Ne t'inquiète pas pour cela. Je vais leur envoyer une lettre qui contient tous les détails. Ils seront rassurés. Je fus rassurée que Dumbledore ne fus pas énervé par mes questions maladroites et surprise qu'il se précipitait comme ça sur ses réponses. Un léger silence rompit la conversation pendant quelques instants. Ce fut Hagrid qui le brisa: -Professeur Dumbledore, pourrai-je garder l'hippogriffe? On aurai dit que cette question attendait depuis longtemps de sortir de la bouche de Hagrid. -Oui, bien sûr, Rubéus. Je vous fais confiance. -Merci, professeur Dumbledore, dit Hagrid en ne cachant pas un petit sourire. -Pour continuer l'année dans cette école, il va falloir que tu sois répartie dans une des quatre maisons: Serdaigle, Serpentard, Gryffondor et Poufsouffle, me dit Dumbledore. Il me fit ensuite un résumé de l'histoire de Poudlard et des qualités et défauts des quatre maisons. -Je vais discuter avec le professeur McGonagall, et elle s'occupera de toi. Quel âge as-tu exactement? -Quatorze ans et cinq mois. -Et dans quelle classe étais-tu dans ton collège de moldus? -Euh...en Troisième. -Alors, tu seras en quatrième année ici. -Mais professeur, je ne sais rien en matière de magie... -Tes pouvoirs se sont développés brusquement, mais comme si ils avaient déjà été travaillés avant. Ils manquent juste un peu de maturité, mais je suis certain que tu réussiras à suivre comme tes camarades. Tu t'en es déjà très bien sortie toute seule... Maintenant je vais aller parler au professeur McGonagall qui va aller te faire répartir dans la grande salle. Hagrid va t'y accompagner, les élèves sont actuellement tous en train de manger. Tu attendras le professeur McGonagall qui te rejoindra pour te présenter aux autres et te faire répartir. J'étais un peu inquiète en pensant que j'allai être présentée toute seule, devant toute une salle. Mais autre chose me vint en tête. -Monsieur, il y a autre chose: je n'ai pas de baguette... -Tu iras en faire l'achat demain. On te prêtera de l'argent. Je me demandai ce qu'il voulait dire par "on", mais je ne posai pas d'autres questions. Dumbledore m'adressa un clin d'œil, puis Hagrid se plaça sur le socle doré. Je le rejoignis, puis le socle pivota autour de la colonne avant de s'immobiliser, tandis que le portrait de fruits nous laissait passer. Après avoir descendu divers escaliers, nous nous retrouvâmes enfin devant la grande porte de la grande salle. -Bon, je vais te laisser là. Il ne te reste plus qu'à attendre le professeur McGonagall, me dit Hagrid. -Allez, bonne chance... acheva-t-il. -Merci! Lui répondis-je. Puis il s'éloigna, et poussa la grande porte d'entrée de Poudlard qui se referma derrière lui.
Dernière édition par le Lun 12 Déc - 8:47, édité 1 fois | |
| | | Eiden Fawl Serdaigle
Nombre de messages : 761 Age : 33 Baguette : Quelque part dans Poudlard Date d'inscription : 02/11/2005
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Dim 11 Déc - 8:52 | |
| 4 eme chapitre: ma répartition
Je me retrouvai enfin seule, après toute cette enchaînée d'actions. Je me demandai dans quelle maison j'allai être répartie... J'étais sûre que ça allait être Serdaigle ou Gryffondor. J'étais stressée... je ne pensais qu'au fait d'être répartie et de passer devant tout le monde. Puis enfin, dix minutes plus tard, le professeur McGonagall descendit les escaliers d'un pas pressé, tenant un vieux chapeau entre ses mains: le choixpeau magique. Elle se pressa vers moi. -Bonsoir... vous devez être la nouvelle élève? Je vous souhaite la bienvenue. Je suis le professeur McGonagall, directrice-adjointe et professeur de métamorphose. Vous allez devoir être répartie dans une des quatre maisons de Poudlard. Pour cela, nous avons ici un chapeau, mais pas n'importe quel chapeau. Il s'agit d'un choixpeau magique pensant qui va juger par vos qualités, défauts et vécus quelle maison vous convient le mieux. Vous m'avez bien comprise? Le professeur McGonagall parlait d'un ton sévère mais rassurant, malgré l'affirmation qui se dégageait dans sa façon de parler. -Oui, professeur...McGonagall. -Bien, alors suivez-moi, et je vous prierais de rester bien sage pendant mon discours. Je vais expliquer qui vous êtes, et d'où vous venez. Puis le choixpeau vous répartira. -D'accord, répondis-je. Puis elle ouvrit la porte. Toute la salle se tourna vers nous et me regarda d'une étrange façon. J'eus du mal à déglutir, en voyant tous les élèves tournés vers moi. Mais le professeur McGonagall ne perdit pas de temps et s'avança dans la rangée principale de la salle. Je la suivis en rendant des regards à ceux qui m'en envoyaient. Puis je réussi à détacher mes yeux de ceux qui me regardaient et les posèrent sur la table des professeurs. À ma grande surprise, le professeur Dumbledore était là, assis au centre de la longue table, sans que je sache comment il était arrivé là. Il avait l'air paisible mais attentif à la scène. Nous atteignîmes enfin l'autre extrémité de la salle. Le professeur McGonagall et moi nous tournâmes vers les élèves. Ce que j'aurai aimé être assise parmi eux, bien tranquille à observer ce qui se passe... Mais certainement pas debout devant tout le monde comme je l'étais. Presque tout le monde me regardait comme si j'étais un extra-terrestre. Heureusement, le professeur McGonagall mit très rapidement fin au lourd silence qui s'était installé. -Veuillez nous excuser, chers élèves, d'interrompre votre repas. Comme vous pouvez le constater, nous avons une nouvelle élève qui rentre à l'école plus tard que prévu. Je ne vous expliquerai pas pourquoi, vous vous renseignerez par vous-même si vraiment cela vous est utile de le savoir. Je fus étonnée de la dureté du professeur McGonagall, et je n'aimais pas trop sa façon mystérieuse d'aborder le sujet. -Cependant, si vous pouviez vous passer de lui poser le même genre de questions, ce serai la meilleure chose que vous pourriez faire. J'espère que vous l'accueillerez convenablement. On aurait dit que le professeur McGonagall parlait comme si je n'étais pas là. -Nous allons maintenant laisser le choixpeau décider dans quelle maison elle va passer le reste de sa scolarité. Le professeur McGonagall sortit sa baguette d'une de ses poches, l'agita, et celle-ci fit apparaître un tabouret devant la table des professeurs, tandis qu'un silence imbattable s'était installé dans la grande salle. -Veuillez vous assoir, dit-elle. J'obéis en me demandant ce qu'elle pouvait bien avoir; elle n'avait pas l'air de très bonne humeur, et pourtant je n'avais rien fait... Elle posa le choixpeau sur ma tête. En parcourant la salle du regard, j'entendis la voix du choixpeau qui résonnait dans ma tête. "Hum... c'est vraiment très difficile...autant de qualités chez Gryffondor que chez Serdaigle... voyons les défauts... je vois la même chose... Je n'opposais aucune résistance ou de choix par rapport aux deux maisons, je préférais laisser le choixpeau décider. "...Où te mettre... mais où te mettre..." Le temps commençait à passer. -Eh bien? Laissa échapper le professeur McGonagall. "...attend... je vois une minuscule supériorité... toute petite, certes... mais il va bien falloir choisir..." Puis il annonça à voix haute et distincte: -SERDAIGLE!! Je souris en entendant une forte acclamation à la tacle des Serdaigles. Après que le professeur McGonagall ai retiré le choixpeau de ma tête, je me levai et lui adressa un regard interrogatif. elle me fis signe de rejoindre ma table. Je la rejoignit avec hâtes, et m'assis à une place libre entre deux personnes. La salle s'était remise à parler, et certaines personnes me regardaient d'un air questionneur, tandis que le professeur McGonagall fit disparaître le tabouret et sortit de la salle pour aller sans doute ranger le choixpeau. À ma droite, il y avait une fille, et à ma gauche, un garçon. Ils avaient l'air d'avoir mon âge. | |
| | | Hermione Invité
| | | | Eiden Fawl Serdaigle
Nombre de messages : 761 Age : 33 Baguette : Quelque part dans Poudlard Date d'inscription : 02/11/2005
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Lun 12 Déc - 9:09 | |
| Ci vrii?? mirciii!!^^ Bon alors je met la suite! 5eme chapitre: Les amis, première partieLe garçon me dit: -Salut! Bienvenue chez les Serdaigle! Moi c'est Fred. Et toi? McGonagall n'a pas dit comment tu t'appelles? Et c'était vrai. D'ailleurs, à part Hagrid, je ne l'avait dit à personne. -Moi c'est Camille. J'ai quatorze ans, je viens de France. -De France? Je croyais que tu venais d'Angleterre! Pourquoi tu as préféré Poudlard que Beauxbâtons? Ou alors c'est tes parents? Fred avait l'air très expansif. -Non non, c'est moi, Poudlard me semblait beaucoup plus sympas que Beauxbâtons! -Tu as fait le bon choix, dit soudain la fille à ma droite. Moi je m'appelle Céline, j'ai treize ans aussi. -Vous êtes nées quand? demanda Fred. -Le huit mai mille-neuf-cent-quatre-vingt-onze, répondis-je. -Moi le six juillet de la même année, répondis Céline. -J'ai vingt-huit jours de plus que toi, Camille, dit Fred. À vous de calculer... dit-il d'un air malin. -Euh...attend un peu... tu es né le... en avril... le neuf! dis-je. -BOUUUP! Perdu! dit-il en imitant une machine à jouer quand on perd. Tu t'es trompée d'un jour! -Il est né le dix avril! dit Céline avec un air de triomphe. -Tu as gagné! Si tu veux réessayer, fais le un, dit Fred en imitant une voix "l'oréalique" de téléphone. Céline et moi eurent un petit rire. J'étais très contente d'avoir rencontré Fred. Céline était sympas aussi. Pendant ce temps, nos assiettes auparavant pleines se vidaient. -Euh... vous pourrez me donner l'emploi du temps? On est en même année et dans la même classe, non? -Exact, annonça Fred. Je te le donnerai tout-à-l'heure. Sinon, je peux t'en dire un peu; alors demain c'est mercredi... on a trois cours. Vol sur balai, défense contre les forces du mal, et potions. -WOAW c'est super! Excellente journée!! dis-je. -Mouais, mis-à-part potions. Sinon c'est vrai que les autres cours sont biens. -J'ai du mal en vol sur balai, je ne sais pas trop maîtriser un balai! J'ai la trouille... nous révéla Céline. -Rhoo qu'il me tarde... Après avoir terminé le repas, tous les élèves rejoignirent leurs salles communes respectives. Celle des Serdaigle était très jolie, très accueillante. Fred me donna l'emploi du temps. Je m'assis dans un des fauteuils de la salle commune en lisant le parchemin. Les cours étaient assez bien disposés à mon goût, et il y avait en plus de ça pas mal de trous. -Oh, ça va comme emploi du temps... dis-je quand j'eus fini de le lire. -Oui, ça peut aller. En changeant de sujet, je tiens à te présenter un ami, il s'appelle Damien. DAAAAAAAM? cria-t-il.
Dernière édition par le Mar 13 Déc - 8:28, édité 1 fois | |
| | | Hermione Invité
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Lun 12 Déc - 9:39 | |
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| | | Eiden Fawl Serdaigle
Nombre de messages : 761 Age : 33 Baguette : Quelque part dans Poudlard Date d'inscription : 02/11/2005
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Mar 13 Déc - 13:38 | |
| mdrrr Remarque les images c'est pas mal non plus, ça se comprend!! lol Alors pour ce qui est de la suite je viens d'arranger quelques textes émotifs, donc si il y a un 'niveau d'écriture et de situation' que vous trouverez un peu différent du général, c'est normal. (en plus ça riiime!!! mdr) Voilà la suite 6 eme chapitre: les copains, 2eme partieUn instant plus tard, un garçon plutôt grand aux cheveux noirs accouru en courant. -Vous m'avez appelé, mon cher Fred-Éric du Guy de Maupassat? -Oui mon cher ami, en te rappelant que je m'appelle Fred et pas "Fred-Éric", je tiens à te présenter celle qui a été répartie dans la grande salle. D'ailleurs, je ne sais pas où tu étais... -T'inquiètes, nous plaisantons mutuellement comme ça entre "très bons amis"... c'est habituel, me dit Damien en me regardant de ses yeux marrons foncés. A ce moment là, je ressentis un énorme chatouillement dans le ventre. Ces yeux si pénétrants, profonds et intenses… je me sentis magnifiquement heureuse tout d’un coup. Je me sentais différente en présence de Damien. Je le sentais différent des autres. Rassurant. Tranquille. Passionnant. Gentil. Intéressant. Et en même temps mystérieux… Toutes ces qualités au premier abord. Je ne percevait pas en lui cette chose que vous ressentez tout de suite, comme si la personne allait vous juger.. je ne pouvais pas expliquer cette chose, ce sentiment, mais il était très grand… Je sentais que je pouvais avoir une infinie confiance en lui. Mais ce n’était pas comme quand on sent cette certaine tranquilité chez les personnes qu’on ressent repliées sur elles-mêmes ou sans intêret… Je sentais chez Damien une personnalité, en même temps forte et infiniment douce et sympathique… -On dirait que tu l'a connais déjà! dis Fred à Damien. -Non, mais je l'ai quand même reconnue. -O.K. Elle Camille, toi Damien, annonça Fred d'un ton caricatural. Je t'ai rappelé ton nom au cas où tu l'aurais oublié. -Cela pourrai en effet m'arriver, mon cher Alfred, renchérit Damien. -Je savais que ton intelligence était limitée, mais je suis quand même étonné que tu sois parvenu à réfléchir pour réussir à énoncer une phrase. Nous sommes heureux pour toi. -Cher merci Fred mon, toi gentil très être. -Je savais qu'il avait des problèmes d'énonciation, ou de "mettage en place" des mots. Mais il ne fait pas s'y fier, il est si coquin. Dans un coin de la salle, Céline était tordue de rire. À sa vue, j'essayais de m'empêcher d'éclater de rire à mon tour. -Intelligent être toi très, moi "HEU"eUeUrYuuUUuaRRhYaHh. fit Damien en émettant un horrible bruit d'agonie au dernier mot. -C'est bien, c'est bien, appuis un peu plus sur le bouton poussoir, tu y es presque. Il réussit déjà à dire que je suis intelligent, mais il n'arrive toujours pas à dire qu'il est heureux... d'ailleurs, je ne vois pas de quoi l'être, si j'étais dans son cas. Céline riait de plus belle. En détournant les yeux d'elle pour ne pas éclater de rire, je dis: -Je crois que Céline ne vous trouve pas drôles du tout... On forme un bon quadruplexte, tous les quatre. On pourrait se donner des surnoms pour rigoler... Habituellement, je n’arrivais pas à être normale en présence de gens que je ne connaissais pas. Mais dans ce cas là, je ne sais pour quelle raison, je me sentais parfaitement à l’aise. Il y a des gens avec qui je me met une sorte de masque de peur qu’on me juge selon mon vrai visage, ce qui est encore pire, car j’essaye de paraître du meilleur possible, et cela crée tout l’effet inverse. Et il y a des gens avec qui je me sens à l’aise. Il y a comme un déclic. Une différence que je ne saurais expliquer. Je pouvais donc avec eux être moi-même, sans me poser de questions… -On forme un bon quoi?? dit Damien. -Euh... un bon... "quadruplexiau"... "quadruplataxion(exe)"... -Apparemment, Camille aussi a des problèmes d'intelligence... dit Fred. -Elle se souvient plus du mot! dit Céline entre deux rires. -Non hélas, j'avoue. dis-je comme si c'était la fin du monde -Écoute, je vais te dire: moi non plus. me dit Fred avec un sourire. -Gnark gnark gnark... fit Damien. -Tu vois, ça, c'est sa façon de s'exprimer quand il rit. "Gnark, gnark, gnark." Très complet. Très expressif. Typique de lui. Céline se tordait à présent en deux. J'éclatai de rire à mon tour. Damien s'assit dans le fauteuil en face de moi, un sourire sincère sur son visage. Fred s'assit à côté de lui en lui donnant un grand coup dans le dos. -"Ouch", j'ai maal. Bobo. Dans le dos. Dit Damien en s'efforçant de garder son sérieux. -Nous te comprenons. Et ça, ça fait mal? dit Fred en lui tapant pas fort du tout le doigt sur un de ses cheveux noirs. -AAIIEEEEE!!! MON CHEVEUX!!! MAIS TU ES FOU, MON CHER AMI!! JE VAIS À L'INFIRMERIE!! dit-il d'un air très réaliste comme si Fred venait de lui casser la jambe. Il se leva et disparu dans le couloir d'entrée de la salle commune. -Il va faire soigner son pauvre cheveu qui saigne abondamment, dit Fred en le regardant partir. Céline n'arrivait pas à atteindre son fauteuil tellement elle était "pétée" de rire. Puis Damien revint un instant plus tard, riant moins que Céline, mais riant quand même. -Même pas mal! dit-il, les yeux rieurs. Puis il s'assit dans son fauteuil en face de moi et à côté de Fred, en riant légèrement. -Quel jeu enfantin! Tu le joue très bien. -C'est un plaisir de jouer le jeu avec toi, dit Damien. Nous étions à présent les quatre seuls dans la salle commune. J'étais prise d'un fou rire avec Céline qui adoptait à présent une position très rare. Elle tenait un accoudoir du fauteuil de la main de son bras tendu, et l'autre main agrippait le tapis avec force et conviction. Elle était allongée à plat ventre sur le tapis, ne pouvant presque plus respirait tellement elle riait. -Eh bien, je ne savais pas que nous faisions tant rire que ça! dit Fred avec un sourire. -Elle est marrante, elle! Elle ne fait que rire, mais rien qu'à la regarder, on est poussé à rire aussi! dis-je. -Et toi, tu saurais nous faire marrer? Demanda Damien. -Ça dépend. Fred, fais-moi peur. -Bouh, dit simplement Fred sans hausser le ton. -HAAAAARGHHH! criai-je en regardant Fred d'un air traumatisé comme si il s'agissait d'un spectre aux yeux ensanglantés et au visage à la peau déchirée qui en pend. Puis je fis exprès de tomber brusquement du fauteuil en gardant la tête traumatisée mais avec une petite expression de douleur comme si je venais de m'apercevoir que j'étais tombée. Puis je reculai à terre, face à Fred, comme si c'était un détraqueur. Puis j'allai me réfugier derrière un meuble. Mais pas de chance, le derrière de ce meuble n'était pas extrêmement propre. J'en ressorti complètement recouverte de poussière. Damien et Fred avaient déjà commencé à rire un peu quand j'eus fais semblant d'avoir peur, mais quand ils me virent sortir couverte de poussière, ils éclatèrent de rire, surtout Damien. -Super, le coup de la poussière! dit Fred en riant. -Sauf que ce n'était pas prévu au programme... dis-je en les regardant rire. Je m'approchai d'eux, couverte de poussière. En me voyant de plus près, Damien et Fred, mais surtout Céline, rirent encore plus. -Je n'ai pas encore de baguette... quelqu'un connaîtrait un sort pour... nettoyer tout ça? -Oui, oui, dit Damien. Il sortit sa baguette de sa poche intérieure et prononça une formule en ayant un peu de mal à cause de son rire, mais le sortilège réussit et je fus enfin propre. Je me rassis dans mon fauteuil. -Tu as quel âge, Damien? Moi, quatorze ans. -J'en ai quinze, j'ai commencé l'école à quatre ans parce je suis né le 31 août. -N'empêche qu'il n'a pas tellement grandit dans sa tête... dit Fred. Damien eu un sourire qui avait l'air de confirmer la phrase de Fred, mais tout le monde savait qu'ils plaisantaient. -Cette idée se surnoms est très bonne, dit Fred. Voyons voyons... Céline a tendance à rire beaucoup... en fait il faudrait nous donner des surnoms qui ont un rapport avec nos qualités, ou quelque chose comme ça... Voyons, en gros, Céline, c'est le rire, Camille, c'est la caricature ou la "marreté", moi, heu... les yeux verts? Non. La plaisanterie spéciale. Et Damien, c'est pareil, la plaisanterie spéciale, ou alors la beauté, n'est-ce pas Dam... Il était vrai que Damien était, en plus des qualités que je lui décelait, plutôt beau. Et même, à mes yeux, magnifique. Yeux marrons foncés, cheveux noirs, sourire mignon... ça je l'avais remarqué. En plus il était drôle. -Bon... pour Céline, ce serait quoi?... "marrade", donc, heu... "Marrale"? Non. "Marraceld"? Bof. "Marrane"? Non, je ne sais pas. Aidez-moi! -"Marradja"? dit Damien. Oui, je sais, très drôle. Malgré ce qu'avait conclu Damien, Céline commençait déjà à rigoler. -Personne n'est animagus par hasard? Non non, c'était juste comme ça, rectifiai-je en voyant la tête de Céline. -Ce n'est apparemment pas mon cas, dit Fred. On a fait un test l'année dernière en métamorphose. Pas de résultat. On va en refaire un cette année. -C'est vrai? Je serais surprise si je découvrais que je suis animagus. -On verra bien. En attendant, les surnoms... -J'ai une petite idée en tête... dis Damien. Pour toi, dit-il en me regardant, Calsan (prononcer "Calsann" et pas "Calsant"), ça t'irai bien... non, je ne sais pas, ça m'est passé par la tête... -Tu es toujours aussi imaginatif. Toi, ton surnom, ce serai plutôt "The intelligence big boss"... déclara Fred. -Ouais, ça m'irait bien, en effet, répondit Damien en contractant ses traits dans un faux effort de réflexion. On entendait les rires de Céline. Elle exagérait peut-être un petit peu... -Oui, Calsan, c'est bien. J'accepte, dis-je. -Alors, pour "Calsan", adjugé? Un, deux... trois! Admis (adjugé) pour 100% des voies! Ou plutôt "3 pour 3" des voies! -Perfect, dis-je. -J'ai peut-être de l'intelligence limitée, mais n'empêche que c'est mon idée qu'on a prit. dis Damien. -Il avoue qu'il a de l'intelligence limitée! Il progresse!! dit Fred d'un air faussement étonné. -Oui, je sais. Je suis trop fort, répondis Damien. -Donc toi, comment on pourrait t'appeler? dis-je en regardant Damien. Attendez, je réfléchis... -Elle est en pleine réflexion, en effet. Ça se lit sur les traits de son visage... dit Fred en plissant les yeux comme si il essayait vraiment de voir à travers moi. -Si tu dis "traits" de son visage, cela veut dire qu'elle a des rides. À son âge, ce n'est pas normal... Il va falloir qu'elle utilise le nouveau produit l'Oréal, "et je parais dix ans de moins"... elle paraîtra trois ans, mais sans rides. dit Damien comme si il était incollable en la matière. Fred éclata de rire. -Pas besoin de produit, il suffit de faire ça... dis-je. Puis je plaquai mes mains sur ma peau et la tirai en arrière. Céline tomba de son fauteuil et s'écroula par terre (avala le par terre mouarf mouarf). Devinez pourquoi. Damien aussi éclata de rire. Vu leur têtes, l'effet de mon geste était surement plus drôle que je ne l'avais pensé. Il y avait cependant une glace dans la salle commune. Je me levai en gardant mes mains plaquées contre la peau et j'allai me voir dans cette glace. À cet instant, je compris pourquoi je les avais fait rire. Ma tête était en effet très marrante. -Ton "produit" a aussi agit sur tes lèvres et sur la peau autour de tes yeux, dis Fred. En effet, on voyait les lèvres et la peau autour des yeux étirés, ce qui faisait un excellent ensemble avec la peau déjà étirée du visage. Je retournai m'asseoir en souriant, ayant enlevé mes mains de mon visage. -Eh! Regardez l'heure! dit Céline. Il était onze heures du soir. -Oula, faudrait peut-être aller se coucher. On continuera les surnoms demain... en attendant, laisse bien agir ton espèce de produit, Calsan. Je te vois bien te promener tel quel dans Poudlard. Ça ferait bonne impression, dès le premier jour... dis Fred. En imaginant cette scène, je laissai échapper un éclat de rire que je m'efforçais de transformer en éternuement. -Tiens, un rhume a subitement émergé en toi? demanda Fred en souriant. -Non non, c'est le soleil qui m'a fait éternuer. C'est qu'il tape, en ce moment. -Oh oui, sauf que tu as réagi à ses rayons à peine trois heures plus tard après qu'il ait disparu. C'est un record très fort, déclara Fred. -Oui, c'est un phénomène naturel chez moi, mais surnaturel chez les autres. -C'est bien, c'est bien... allez bonne nuit les petits... dis Fred. Puis nous montâmes les marches de nos dortoirs, Céline et moi vers le dortoir des filles, Fred et Damien vers le dortoir des garçons. -Ils sont marrants, tous les deux, hein? dis-je à Céline en montant les escaliers. -Non, non, pas du tout, vu comment j'ai rigolé... ce n'était pas drôle du tout. Je lui souriai. -Tu les connaissais avant? lui demandai-je. -Non, on n'avait pas vraiment fait connaissance... mais je suis heureuse de les connaître maintenant! Je ne m'ennuierai plus! -Moi non plus, apparemment. Je ne vois pas comment on pourrais s'ennuyer avec eux... Nous étions à présent arrivées à nos dortoirs. -Voici mon lit. Il y a un autre lit, celui-là en face du mien, qui est libre. Il doit t'être destiné, me chuchota Céline. -Merci. Je vais m'y installer aisément, lui répondis-je. Un sac rouge était posé au pied de mon lit. Je le reconnu: c'était mon habituel sac de voyage. Un mot était posé dessus. Je m'assis sur le lit, pris le mot qui était écrit avec de l'encre bleu et des lettres bien formées, et le lus. "Ta mère a gentiment accepté de préparer ton sac avec toutes tes affaires. Ne te fais aucun souci, elle va bien, et ton père aussi. Albus Dumbledore." Quand j'eus fini de lire le mot, j'étais plutôt contente et je ne me posai pas trop de questions. J'étais fatiguée. Je m'installai dans le lit, dit "bonne nuit" à Céline, et éteignis la petite lampe de chevet qui allait avec mon lit, ce qui nous plongea dans le noir le plus complet, car Céline avait éteint la sienne aussi. Allongée sur le dos et les yeux fixés au plafond, je repensais à Fred et à Damien. Fred avait les cheveux châtains en bataille et les yeux verts. Il était presque aussi grand que Damien et avait l'air d'avoir son âge. Damien avait les cheveux noirs un peu hérissés en piqués et des yeux marrons foncés. Il était un peu plus grand que nous, ce qui était normal puisqu'il faisait un an de plus. Je repensai à ce très agréable chatouillement dans le ventre à chaque fois qu’il me regardait… Damien et Fred avaient tous les deux des voix plutôt graves d'adolescents. Céline, elle, avait des cheveux châtains, un peu plus clairs que ceux de Fred, et des yeux marrons-verts. Ils étaient tous les trois très sympas, j'étais très contente de les avoir rencontrés, et qu'en plus de ça nous soyons dans la même maison et en même année. Mais mes pensées s'embrouillèrent et je m'endormis profondément. | |
| | | Hermione Invité
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Mar 13 Déc - 23:02 | |
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| | | Eiden Fawl Serdaigle
Nombre de messages : 761 Age : 33 Baguette : Quelque part dans Poudlard Date d'inscription : 02/11/2005
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Ven 16 Déc - 9:49 | |
| Je la met je la met!! lol
Chapitre 7: premier réveil
Quand j'ouvris les yeux, la plupart des élèves étaient en train de s'activer dans le dortoir. Je me redressai péniblement, regardant un peu partout autour de moi. Quelques filles m'adressaient des regards interrogateurs ou curieux. Céline était peut-être déjà partie déjeuner, car je ne la vis pas dans le dortoir. Une ou deux filles m'adressaient un "salut" sympathique que je leur rendis. Je décidai enfin de me lever, puis je mis ma montre et me passa un coup de brosse dans les cheveux. J'eu par contre un petit problème avec la tenue. Fallait-il se mettre en robe de sorcier? Je trouvai la réponse à ma question très vite: plusieurs Serdaigle étaient vêtues de robes de sorcier noires portant l'insigne de Serdaigle. Mais le seul problème restant, c'était que je n'en avais pas. Heureusement de l'aide m'arriva très rapidement. Une jolie fille blonde s'avança vers moi, et me dit, me tendant une robe de sorcier: -"Salut! C'est bien toi, Camille? La nouvelle? Tiens, c'est une robe de sorcier avec un uniforme qu'on te prête en attendant que tu ais les tiennes. C'est le professeur Flitwick qui m'a demandé de te la donner. Au fait, bienvenue! Moi je m'appelle Mathilde. -Merci beaucoup! dis-je en prenant l'uniforme. T'es sympas! -Tu t'es fait des amies depuis que tu es arrivée? -Oui, Damien, Fred et Céline. -Ah oui, Céline je la connais aussi. Par contre les deux autres, je ne les connais pas. Je n'ai pas trop de copains garçons... -si tu veux, je te les présenterai, ils sont très sympas et très marrants, tu verras. -O.K merci. Bon il faut que je te laisse, je dois descendre. -Pas de problème. À plus! -À plus! Ravie d'avoir fait une nouvelle connaissance, je m'habillai rapidement et je descendis à mon tour, contemplant cette robe et cet insigne. Je me demandais cependant comment elle avait pu savoir, puisque seuls Céline, Damien et Fred le savaient. Une fois arrivée en bas, je trouvai Damien qui venait sans doute de descendre de son dortoir aussi, puisqu'il en était tout près. -Salut! lui dis-je. Bien dormi? -Mouai... fait un drôle de rêve. J'ai rêvé que Fred avait utilisé du produit à rajeunir, mais ça avait produit l'effet contraire. Il est devenu très vieux. Il était très drôle comme ça, ce genre de look lui allait très bien. Remarque je ne sais pas s’ il serait comme ça vieux, ce n'était qu'un rêve... -Je l'imagine très bien vieux, dis-je en souriant. Peau pendante, cheveux blancs... plus de dents... le pauvre. Non là c'est méchant. Damien m'adressa un grand sourire. -Très bonne description. Je vais la lui dire dès que je pourrai. -Oh non, non, s'il-te-plaît... Damien se mit à courir. -D'ailleur, je vais lui dire tout-de-suite. -NON!! Puis je le poursuivis. Il se mit à rire en me jetant des coups d'œil pour voir si je le rattrapais. -Arrête, ce n'est pas drôle! dis-je en souriant, d'un air pas sérieux du tout. Mais au bout d'un moment, il s'arrêta de courir. -Allez, j'arrête, sinon je sens que mes jambes vont dérailler... -Ça aurait été drôle si tu avais trébuché et fait un vol plané... Damien en pleine action... -Ouais... puis m'écraser contre Fred en lui disant "J'avais juste un truc à te dire..." -Non je plaisantais tu sais... -Mais je le savais bien, dit-il en me souriant. Bon on va déjeuner? -Très bonne idée. C'est que nous venons de courir à jeun. -Oui, c'est un exploit. Demain, toute l'école sera au courant, tu verras... -Ouais tu parles!! "Deux jeunes Serdaigle ont courru dans Poudlard à jeun, ils ont eu énormément de chance de ne pas s'écrouler par terre dès le premier pas..." Le sourire de Damien s'amplifia. -Allez, on va déjeuner. C'est que je commence à avoir faim. Nous entrâmes dans la grande salle dont le plafond nous donnait l'illusion de voir un soleil resplendissant au milieu de petits nuages blancs. -Oh, que c'est beau... dis-je. -C'est ce qu'on appelle la magie de la magie, me dit Damien. Nous étions très près de Fred qui était assis à la table des Serdaigle. Apparemment, il nous avait entendus: -Ne me dis pas qu'il t'a parlé comme ça pendant tout le temps que vous étiez ensemble? Ou alors vous venez juste de vous voir et c'est la première phrase qu'il ta dit? Nous dit-il. -Non, t’inquiète. On est ensemble depuis la sortie du dortoir. Et il m'a juste fait courir un peu. -Tiens? Tu sais courir toi? dit-il d'un air faussement soupçonneux à Damien. -Non, non, c'est bien pour ça que je l'ai faite courir. Je marchai, et pourtant elle ne me rattrapait pas, dis Damien. -Et pourquoi vous avez couru? Pour le petit footing du matin? Ou pour profiter pleinement du plaisir d'être porté par un balai? demanda Fred. -Non, parce que... Damien et moi échangeâmes un regard. -Non, juste pour m'embêter... dis-je avec un petit sourire que je ne pouvais cacher. -Je vais être très clair. Parce que je lui ai dit quelque chose qu'elle m'a dit aussi et que je voulais dire ce qu'elle m'a dit à quelqu'un dont je ne l'avais pas dit, expliqua très clairement Damien. -Tu es très clair, en effet. Mais il y a un seul problème dans ta phrase très très claire: je n'ai rien compris. dit Fred d'un ton sérieux mais avec un visage amusé. -Non, oui, c'était en gros pour la taquiner... dis Damien. -NON OU OUI?? dit Fred d'une voix forte. -Euh... je ne sais pas, dit finalement Damien. -C'est pas grave, laisse tomber. dit Fred d'un ton encore une fois faussement exaspéré. Je m'assis à côté de Fred et Damien s'assis en face de moi. Puis nous nous servîmes et commençâmes à manger, entamant la conversation de diverses choses, dont l'exploit de la course à jeun. Après avoir bien déjeuné, nous nous rendîmes sur le terrain du cours de vol sur balai, puisque c'était le premier cours du mercredi, ainsi que le voulait l'emploi du temps. La température extérieure était plutôt douce. -Tu as déjà volé sur un balai? me demanda Fred. -Non, ça va être la première fois. -Tu verras, c'est super... dit Damien. Céline, que nous n'avions pas encore vue, nous rejoignit. -Salut, ça va? -Ça à l'air, vu que nous ne sommes pas à l'infirmerie en train de nous tordre en deux à l'agonie, dis-je. -Hahaha, fit Fred. Ça c'est sûr. Heureusement. Malgré ce qu'avait dit Fred, Céline avait déjà attrapé un fou rire. -T'as pas l'air de très bonne humeur, aujourd'hui, mon vieux, fit remarquer Damien. -Non, pas trop, j'ai mal dormi. Ce matin, je me suis senti vieux comme si j'avais pris beaucoup d'années. Et c'est pas gai, croyez moi. On se sent tout fatigué et on a mal partout. Damien et moi se regardèrent et éclatâmes de rire. -Qu'est-ce que j'ai dit de si drôle? nous demanda Fred, l'expression de son visage étonnée. -Rien, rien... dit Damien d'une voix aigue. Même quand tu ne le veux pas, tu nous fais marrer. -Ah bon, fit Fred. Je suis surpris. Quand tout le monde fut arrivé, le cours de vol débuta. Mme Bibine, une femme aux yeux de chouette, nous demanda d'abord de s'échauffer en allant un peu partout, mais en restant en vue. Puis, pendant que tout le monde s'élançait, mme Bibine vint me voir. | |
| | | Hermione Invité
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Ven 16 Déc - 13:31 | |
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| | | Eiden Fawl Serdaigle
Nombre de messages : 761 Age : 33 Baguette : Quelque part dans Poudlard Date d'inscription : 02/11/2005
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Lun 19 Déc - 6:03 | |
| Heu mais on peut me dire ce que vous en pensez quand même plus en profondeur? lol Je sais pas, si vous aimez bien l'histoire, si j'écris bien, si ça vous fait rire, si ça vous ennuie etc... parce que voilà j'ai besoin que vous commentiez ma fiction! | |
| | | Hermione Invité
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Mer 21 Déc - 1:09 | |
| lol! Alors, je trouve ça nulle, ça m'ennuie, c'est déble et je pense pas un mot de ce que je viens de dire!!!! Non, je'aime bien, il y a vraiment des passages dignes d'un grand auteur, l'histoire est bien ficelée, et inutile de te dire que tu écris vraiment bien!! (À propos de commentaire.Personne n'aime ma fic!!!!! Moi aussi ze veu des commentaires!) |
| | | Eiden Fawl Serdaigle
Nombre de messages : 761 Age : 33 Baguette : Quelque part dans Poudlard Date d'inscription : 02/11/2005
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Mer 21 Déc - 5:22 | |
| Lool merci Hermy!^^ t'inquiète je vais la lire ta fic | |
| | | Hermione Invité
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Mer 21 Déc - 13:02 | |
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| | | Damien Katan Serdaigle
Nombre de messages : 206 Baguette : Prés de Camille, riant avec mes ami(e)s... Date d'inscription : 29/03/2006
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Ven 31 Mar - 10:04 | |
| Ecoute, moi j'aime assez, l'écriture est fluide, le style épuré.
J'aime assez, l'histoire est sympa et on s'identifie bien au personnage, c'est réaliste...
hHumm....à quand la suite ? | |
| | | Eiden Fawl Serdaigle
Nombre de messages : 761 Age : 33 Baguette : Quelque part dans Poudlard Date d'inscription : 02/11/2005
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Ven 31 Mar - 10:07 | |
| Heu bientot! J'ai écrit beaucoup plus que ça mais j'ai la flemme de poster!! mdr
Merci^^ | |
| | | Damien Katan Serdaigle
Nombre de messages : 206 Baguette : Prés de Camille, riant avec mes ami(e)s... Date d'inscription : 29/03/2006
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Ven 31 Mar - 10:11 | |
| En tout cas le scénario est original je n'avais encore jamais lu de fictions avec soi même (enfin toi Camille Sumdal) dans l'histoire c'est interressant remarque personnelle : je ne suis pas dans ce genre d'humour lol, ça y est ya des différences avec ton Damien lol | |
| | | Eiden Fawl Serdaigle
Nombre de messages : 761 Age : 33 Baguette : Quelque part dans Poudlard Date d'inscription : 02/11/2005
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Ven 31 Mar - 10:15 | |
| Oui bah faut aussi remarquer que j'avais pas 15 ans quand j'ai écrit ça, et que c'est sûr que ce n'est pas un humour 'très recherché', ça a surement un peu changé depuis.. | |
| | | Damien Katan Serdaigle
Nombre de messages : 206 Baguette : Prés de Camille, riant avec mes ami(e)s... Date d'inscription : 29/03/2006
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Ven 31 Mar - 10:17 | |
| lol lol lol en tout cas je suis content que tu es mis la fic en ligne (je sais ça doit faire longtemps ) tu en as écrit d'autre ? | |
| | | Eiden Fawl Serdaigle
Nombre de messages : 761 Age : 33 Baguette : Quelque part dans Poudlard Date d'inscription : 02/11/2005
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Ven 31 Mar - 10:21 | |
| Heu.. pas tellement mais j'écris des histoires fantastiques sans rapport avec Harry Potter | |
| | | Damien Katan Serdaigle
Nombre de messages : 206 Baguette : Prés de Camille, riant avec mes ami(e)s... Date d'inscription : 29/03/2006
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Ven 31 Mar - 10:27 | |
| ah oui, j'aimerais bien les lire si tu ne le permet oui .... | |
| | | Eiden Fawl Serdaigle
Nombre de messages : 761 Age : 33 Baguette : Quelque part dans Poudlard Date d'inscription : 02/11/2005
| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune Ven 31 Mar - 10:35 | |
| A vi mais pas sur ce site.. et faut que je les rentre | |
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| Sujet: Re: Le pouvoir de la lune | |
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| | | | Le pouvoir de la lune | |
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