Des livres !!! Toujours plus de livres !!!

Charlie tournait en rond dans les couloir du château d'un pas trainant, il venait de finir le dernier livres de la bibliothèque (réserve incluse) et il se demandait bien comment il pourrait survivre aux années de scolarités restante sans aucun nouveau livre a étudier. Charlie commençait a se résigner a l'idée de devoir relire ses livres, lorsqu'il s'arrêta net devant une gigantesque porte.

Bon ok … garde ton calme et réfléchie mon vieux. Premièrement, je suis passé ici y'a moins de 5 min, et je suis sur qu'il n'y avait aucune porte de 12 mètres de haut. Deuxièmement, Les portes n'apparaissent pas toute seul, et pas sans raison. Donc que peut-on en conclure ? Que d'une façon ou d'une autre quelqu'un ou quelque chose a mit cette porte là dans les 5 dernière minutes … Bon de toute façon j'ai rien de mieux a faire tout de suite, vue que j'ai plus de livres ...

il se dirige vers la porte

Avec ma veine je vais me retrouvé nez à nez avec un cerbère a 3 têtes ou un canaris géant mangeur d'hommes, ou encore pire … avec McGonagall !

Il s'arrête devant la porte, tend le bras, et la pousse, la porte grince sur ses gonds et s'ouvre doucement.

« PAR LES TENTACULES DU KRAKEN !!! » 

L'imposante porte c'était ouverte sur une grande salle a plafond haut, et chaque centimètres de cette salle était occupé par des montagnes de livres, parchemins et autres grimoires. Charlie tendis ses bras devant lui mais ne bougea pas, comme si il ne croyait pas au spectacle qui s'offrait à lui. Puis lentement il s'avança vers une des piles de livres, en saisie un, souffla dessus pour en chasser la poussière et l'ouvrit.

Incroyable ! Un grimoire complet sur « les secrets de la psychologie des Pitiponks ». Sa promet, en tout cas je pense que mon problèmes de livres est résolue !

Il s'accouda paresseusement à une pile de livres, mais il perdit l'équilibre et toute les piles de livres environnante lui tombèrent dessus. Avant d'être complètement submergé, il eu le temps de crier:

« A L'AIDE !!! »

Christabel releva la tête. Elle avait entendu quelqu'un crier. Loin, là-bas, en direction de la porte de la Salle. depuis quand quelqu'un d'autre qu'elle pouvait pénétrer dans cette salle remplie de livres ? Elle glissa un morceau de parchemin dans son livre pour marquer la page et le posa bien en évidence sur une table de bois. Alors, elle commença son ascension des montagnes de bouquins.
Elle se hissa difficilement sur la dernière et s'assit sur un énorme grimoire. En contrebas, un garçon. Il était à moitié enseveli sous une tonne de livres et criait de toutes ses forces pour qu'on vienne l'aider. Soupirant de lassitude, elle prit un livre tout plat et long et s'assit dessus. D'une impulsion, elle le fit glisser tout en bas du versant de bouquins. Elle alla rejoindre le pauvre garçon qui semblait pris au piège.

-A L'AIDE !
-Ca va, ça va, j'arrive...

Elle lui saisit la main et le tira de toutes ses forces vers elle. Rien ne se passa. Elle s'arc-bouta et tira encore, allant même jusqu'à poser ses pieds sur la pile de livres, tirant toujours. Le garçon finit enfin par être libéré. Sauf qu'il s'écrasa par terre, et sur Christabel par la même occasion.

-Mais aïe ! C'est comme ça que tu traîtes ta sauveuse, toi ? Pousse toi de là, tu m'écrases !

-Vraiment très drôle votre comédie. Vous pouvez recommencer, je crois ne pas avoir vu le début.

Christabel tourna la tête, ignorant le Gryffondor, car c'était bel et bien un Gryffondor, affalé sur elle et fixa son regard sur Flint.

-Ce n'est pas un jeu, Flint. Il n'y a aucune comédie là-dedans.

Elle repoussa le type qui restait toujours étendu sur elle (pas gêné, soit dit en passant !) et se releva, époussetant sa jupe. Elle jeta un regard au garçon assit près d'elle avant de revenir à Flint. Le garçon inconnu se massait la tête, souriant toujours et s'apprêtait à saluer Flint quand il remarqua sa cravate verte et argent. Serpentard, et oui. Le garçon la regarda, sourit et lança un sort, si vivement qu'elle n'eut pas le temps de l'en empêcher.

-PETRIFICUS TOTALUS ! cria-t-il.

Flint neut pas le temps d'esquiver, ni de faire quoi que ce soit. Il se retrouva complétement pétrifié, étendu au sol, raide comme une planche. Christabel sourit.

-Accio, dit-elle la baguette pointée sur le livre de Métamorphose que Flint lui avait enlevé. Avec l'inconnu, ils refermèrent les portes de la Salle sur Demande, s'enfermant dedans par la même occasion, empêchant quiconque d'y pénétrer tant qu'eux y seraient.

Enfin, elle ne serait plus dérangée. sauf, peut-être, par cet hurluberlu qui regardait la salle avec un air d'enfant qui aurait vu le Père Noël.

-Merci de m'en avoir débarassé, dit-elle par politesse. Je peux savoir qui tu es ?

A cette question, elle n'eut qu'un sourire.

-Je me présente, Charlie Fitzgerald, élève de 6 ème année de la maison Gryffondor. Et ne me remercie pas pour ça, c'est toujours un plaisir de jeter ce bon vieux maléfice du saucisson a un « camarade » de Serpentard.

Il lui dédia un grand sourire en se grattant l'arrière du crane.

-Maintenant que je me suis présenté, je peut savoir le nom de ma bienfaitrice ? Je te rappel que tu ma sauvé, j'ai une dette envers toi. Et aussi, sa peut paraître idiot, mais … où somme nous ?

Christabel le regarda comme si il venait de tomber du ciel.

-Nous sommes dans la Salle sur Demande. Tu... Tu ne connais pas ?

Il secoua la tête, répondant non silencieusement, et continua de sourire comme si son ignorance était parfaitement normale.

-Alors, c'est quoi ton nom ?
-Plaît-il ? Ah oui... Je me nomme Christabel McGregor, élève de 6ème année à Serdaigle. Enchantée de faire ta connaissance, Charlie Fitzgerald, élève de Gryffondor !

Elle lui sourit briévement avant de reprendre son expression habituelle. Alors seulement, elle ramassa son livre de Métamorphose et retourna là où elle était avant qu'il n'arrive. C'est à dire, perdue au milieu d'un désert de livres. Elle entama son ascension de bouquins.

Carter montait les marches tranquillement lorsqu'il vit un enorme boudin devant le mur ou venait a l'instant de disparaitre une porte. Il dut faire la remarque sur le boudin a voix haute car ce dernier lui jeta un regard noir (^^) et c'est a cela que Slade reconnu Flint.

Il delivra donc Flint qui lui expliqua ce qui venait de lui arriver.
"Franchement tu m'excuses mais c'est un peu la loose, le grand Marcus Flint en personne se faire maitriser par un eleve de 6° année de Griffondor en plus, pardon mais c'est ridicule. t'inquietes je vais garder le silence sur cette mésaventure ... en tout cas pour l'instant" finit-il sur un ton qui sous-entendait plein de chose.

Puis Marcus tourna plusieurs fois devant le mur en marmonant quelque chose puis il s'arreta satisfait, il allait ouvrir la porte quand Ghost l'arreta.

"Attends on va utiliser la magie pour l'ouvrir de plus loin pour le cas ou ils nous attendraient, puis apres on enverra une volée de sort a tout va."

Carter et Marcus tirait et tirait sans relache, et a la lumiere des tirs il vit le carnage que c'était. Des livres partout, des étageres brisées des pages qui volaient loin de leur livre un véritable champ de bataille et derriere cachés par les restes de ce qui avait été autrefois une étagere et par des livres, il y avait Christabel et Charlie.

Flint et Slade avait déchainés les Enfers

Carter et Marcus tirait et tirait sans relâche, et a la lumière des tirs ils virent le carnage que c'était. Des livres partout, des étagères brisées des pages qui volaient loin de leur livre un véritable champ de bataille et derrière cachés par les restes de ce qui avait été autrefois une étagère et par des livres, il y avait Christabel et Charlie. Christabel avait eu le temps de lancer un sort de protection juste avant que la salle n'explose, et a présent elle faisait face aux deux serpentards. Charlie lui trournait lentement sur lui-même pour examiner les dommages

Quels gachie ! Tant de livres, tant de savoir reduits en cendre par ces deux idiots. A ça ils von me le payer, c'est pas parce qu'ils savent pas lires qu'ils peuvent se permettre de détruire de si préçieux ouvrages.

Christabel devait penser pareil car sans hésitation elle désarma les deux imbéciles avec un Expelliarmus très bien envoyer et réceptionna les baguette dans sa main, Charlie leur lança immédiatement le seul sort qui lui venait a l'esprit, même si ce n'était pas le plus utile ou le plus évident.

-Tarantallegra !

Les jambes des deux serpentard se mirent immédiatement gigoter dans tous les sens, imitant se qui semblait être un pas de danse Irlandais. Et avant qu'ils puissent dire le moindre mot, Charlie et Christabel lancèrent a l'unisson le même sort

-Silencio !

Les réduisant ainsi au silence.

Christabel demanda silencieusement à la Salle de sauver les livres et prit le bras de Charlie. Contournant les deux Serpentards endiablés, ils quittèrent la salle. Du couloir, Christabel lança un sort qui attira violement carter et Marcus dans le couloir. la porte se referma, ne laissant qu'un mur vierge. Les sorts agissaient toujours. Zillah entraîna Charlie dans son sillage, abandonnant les deux Serpentards. Dans sa précipitation, elle emmena son nouvel ami dans le seul endroit encore sûr pour elle : la salle commune des Serdaigle.

Christabel et Charlie avait finalement décidaient de fuir, ils partirent donc profitant du fait que les deux Serpentards dansaient. Mlaheureusement dans leur fuite ils oublierent de prevenir le seul et unique pécore qui se trouvait dans le coin qui se retrouva bien vite plaqué au sol par Carter qui lui sauta dessus des marches, il attrapa la baguette au vol se desensorcela et désensorcela Marcus. Puis pour calmer ses nerfs il accrocha le pauvre infortuné par le fond du pantalon a une statue.

Puis avec Flint sur ses talons il arriva devant chez les Serdaigle, mais c'était trop tard, Christabel était dedans et il n'y avait aucune trace de Fitzgerald, il avait du retourner chez les siens. Ils allaient devoir poireauter jusqu'a ce que Christabel sorte. Carter décida tout de meme de garder la baguette prise de force plutot que de la passer au préfet en chef.

"Ah ouais pas bete ca ... Accio baguette"

Bientot on vit arriver non pas deux mais bien une seule baguette, celle de Carter, qui la rangea et laissa tomber celle qu'il avait "emprunté".
Puis il partit laissant en plan Marcus, seul, sans baguette (ormis celle par terre quelques metres plus loin) donc sans défense, devant la salle commune des Serdaigles auxquels ils avaient jouaient plusieurs sales coups durant sa scolarité.
Il valait mieux pour Flint que l'idée de se venger ne vienne a aucun Serdaigle car il ne pourrait rien faire avant d'avoir récupéré la baguette "empruntée" se trouvant par terre en plein milieu du couloir a la vue de tous.